« La solitude, c'est triste non ? » { Emmett C. }

15:34:57
Sunshine ... Cloudy love

C'était un jours comme les autre son ne pouvait pas dire que il était banal ou autre, il avait son charme il fallait voir aussi le bon côté des choses par moment, moi je le regardai peu à peu, à la regardé je me disait que j'allais me laissé à un moment donné et pourtant ce n'était pas le cas, j'étais assise sur un banc et je contemplais les gens qui marchaient, discutaient, rigolaient et se disputaient sans cesse. Ça avait un certain charme surtout de les voir se disputaient pour ensuite rire. C'est merveilleux de voir des gens heureux mais sa l'ai moins quand on veux l'être à son tours et que l'on n'y arrive pas.

C'est triste la solitude, c'est pourtant si facile d'y entrer, mais beaucoup plus difficile d'y sortir sans séquelle, je voulais y sortir et être heureuse mais malheureusement je n'y arrivais pas. Personnes qui marchaient tranquillement dans la rue ne l'eut remarqué, j'aimais les entendre discutaient de la pluie et du beau temps, pour moi sa le faisait tranquillement passé, la brume qui ce matin c'était levée au abord de Forks c'était dispersée en début d'après midi, il y avait encore quelque nuage qui cachée le soleil, mais la chaleur était là. En ce début d'après midi, je m'étais assis sur le banc et prenais des photos des personnes qui riaient à s'en arrachée la bouche, ils étaient à tordre de rire et pourtant je trouvais sa touchant ce qui était rare, alors les photos que j'aimais prendre des gens heureux, me donnée dans un corps froid un peu de chaleur humaine qui sait.

Ce que les gens disaient était simple, les photos elles le montraient c'était comme sa que je le conservais j'aimais vraiment décrire les gens sur les photos, rire, sourire et pleurer sa paraissait tellement simple j'avais amèrement envi d'être comme eux moi aussi mais pourtant je n'y arrivais pas en tant que vampire je devais être serviable en ma faveur, je déteste énormément me dire sa que je suis est resterai ainsi le reste de ma vie, j'ai eu envi à plusieurs reprise de crié au mon de ce que je suis, mais à croire que l'envi d'être ce que je suis, solitaire était là. Plus le temps passé, plus je me sentais seul et plus je me sentais mal à croire que sa me faisais du bien.

C'était déjà presque la fin de l'après midi, j'étais entrain de regardez les photos prisent un léger sourire s'inscrit sur mes lèvres, je m'amusais facilement soudainement je pris l'appareil photo que je jeta par terre, et je me mis à rire comme une enfant bien malheureuse, c'était si étrange d'être une personne comme je l'était jamais compris pourquoi quelqu'un aurait voulut être l'ai d'un monstre comme moi. Alors plus le temps passer plus je regardais mon appareil par terre, c'était idiot de lançait quelque chose de fragile à terre mais... Cela pouvait faire un bien fou.

« Pitoyablement... Amusant. »

Ce geste ne m'avais pas coutais bien cher il faut dire que je n'avais rien et ne pouvais rien avoir de s'y grave à jeter ce qui d'un côté m'était cher j'aimais faire sa, sans savoir à quoi cela pouvait bien me servir, puis mon léger sourire incompréhensible était là à me bruler les lèvres. Maintenant que j'y pense les gens me regardait bizarrement et il y eu un grand silence dans la rue, alors mon sourire disparue et cette vague chaleur de toute à l'heure disparu avec le sourire des personnes présentent, un léger soupire vient tout interrompre.

17:45:12
Dislike ...

Après avoir fini de me comportée comme une enfant, je levais la tête un odeur même vint me chatouillée les narines ma tête se baissa et nous nous vîmes. Il était grand, d'une peau assez pâle et assez fort physiquement, je me leva assez contente et pourtant je ne savais pas pour qu'elle raison je l'étais au fond c'est vrais je voulais de la compagnie, humaine ou non, cela m'étais vraiment égal. Enfin levai je m'approcha de lui, je marchait lentement il faut dire qu'il faisait de même, avais-je vraiment l'air d'une enfant à premier vu ? On me le disait souvent quand j'étais plus « jeune ».

Enfin devant lui je me senti vraiment petite, je ferais surement la taille d'une fille de douze ans, c'est horrifiant et assez drôle. Ma gorge devenait de plus en plus sèche et un sourire amusée s'inscrit sur mes lèvres j'aimais cette sensation dans mon corps, était-ce de la peur ? Je ne crois pas, la curiosité non plus, c'était un sentiment amusant car j'adorais depuis mon plus jeune âge avoir des sensation étrangère à la plupart des gens. Je crois avoir trouvée ce que j'ai eu à l'instant que j'étais face à lui c'était de l'excitation à savoir ce qui allée se passait, si j'allais mourir, j'aimais éperdument ressentir cela.

« Bonjour ? »

Était-ce une question de ma part, je ne savais pas comment me comporté, après avoir dit cela je me retourna et baissa pour reprendre mon appareil, le sourire enjouée avait simplement disparu, je me dis qu'il état bon à jeter sur l'instant mais je voulais le gardé. J''était une fille incompréhensible quand j'étais plus jeune aujourd'hui aussi, c'est amusant de ne pas comprendre pourquoi on fait à des personnes certaines choses alors que nous même nous n'aimerions pas cela. C'est tellement bizarre.

« Vous êtes ? »

J'avais envi de parlé avec cet étranger, il ne me connaissait pas et moi de même, je pouvais lui faire croire ce que je voulais sur ma petite personne mais je n'étais pas ainsi. C'était le premier que je rencontrais, il y en aura d'autre, je n'avais pas hâte mais d'un autre côté c'était tentant. Après avoir dit cette phrase dos à celui ci je me releva et me retourna, j'avais l'air physiquement impassible sur l'instant présent.

Je n'était une fille qui avaient des amis, c'était surement à cause de mon caractère obstinément perfide, incompris j'étais une jeune fille qui doutait beaucoup de sa carence, je me comprenais simplement. J'aimais croire que j'avais un ville excitante, j'avais dix sept ans, quand j'avais vraiment dix sept ans ! J'étais une fille plutôt calme qui revenait souvent sur ses choix, j'étais naïve et très distraite, amusant non ? Cela ne faisait que rire ma petite personne accablé. J'avais eu dix sept ans le quatre octobre et m'était fais mordre par un vampire, cela était très excitant c'est sans doute pour cela que j'étais devenu ce que je suis avec un joie des plus... Surprenante.

Je n'était pas une fille superficielle au contraire, j'étais une jeune fille très posée souriante, accablante, je me répète.. Mais j'étais très souriante c'est ce qu'il faut souligné rien n'arrivait à enlevé cela surement car je m'étais entrainée à ce que ma mère ne voie pas les délicat larmes sur mes joues. Je n'était pas une enfant heureuse, je ne qualifiais même plus d'enfant j'étais comme une infirmière au petit soin avec son patient. Or l'infirmière n'était qu'une fillette de dix sept ans, même pas majeur et le patient était une femme quadragénaire. C'était des années bien maussade, je men rappela lors de ma rencontre avec le jeune homme, si on peut encore le qualifiait de jeune.

« Mon nom n'est pas important non plus. Dommage n'est-ce pas ? Surement, du moins que pour moi. »

Sur cette remarque je me mis à rire, seulement rire. Il devait me prendre pour une imbécile ou autre chose dans le genre, il devait surement pensé que je ne savais pas ce qu'il était. Je devais être très bonne comédienne. J'avais mon sourire habituel quand j'avais quelqu'un proche de moi à qui je m'adressais, nôtre discutions n'était pas très gaie cela m'enjoua, j'étais très... Bref. Incapable de dire autre chose je me tue sur l'instant lui me regardait toujours de la même façon; je ne souriais plus. J'avais une envie que je n'arrivais toujours pas à identifié, non de sang mais autre chose de plus intense, ce n'était que plus enivrant que je fermais les yeux.

« Je m'ennuie. Tu ne te décide toujours pas à dire quoi que ce soit ? Alors je vais rompre le silence je n'ai que sa à faire, enfin Ça me paraît normal j'aime le silence mais je n'aime pas m'ennuyai. Tu n'a surement pas compris un traite de mot de ce que je viens de dire. Je ne suis pas surprise on m'a souvent identifiée comme incompréhensible. Plus tard si on se revoit tu comprendras, mais je suis d'humeur maussade sur le coup donc je n'en est pas fini avec toi. Oh, j'ai parlé deux minute. Hilarant non ? Oublie cette idiotie sans retour s'il te plait, je ne te connais pas et toi non plus donc je te dirais mon nom et tu me dira le tiens, ensuite on pourra en venir au prénom. Es-tu d'accord ? »

Bien sure si il n'avait toujours pas compris, moi je le comprendrais j'étais vraiment beaucoup trop incompréhensible, mais je le sais au fond de moi même que tous cela était fais exprès pour que personne ne se rendent compte de cette intelligence, du moins je pense que je suis intelligente pour la peine que j'ai fait d'apprendre toutes ces « belles » années de torture...

Lunatique, je l'étais.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de la compagnie c'était exaltant, le jeune homme Emmett, devrais-je dire. Avais un caractère, qui m'amusais assez cependant amusée je ne l'étais pas. J'étais beaucoup plus calme et sérieuse devant lui, mon sourire avait disparu. Instant après instant le sentiment d'excitation, cette adrénaline montait d'une vitesse affolante dans mon corps c'était, incroyable, la respiration coupée je continuais pourtant de gardée un calme tout autant affolant que ce qui se passa dans mon corps. Je tremblais.

« Bien, Emmett, donc. J'ai déjà entendu ce nom quelque part bien que je ne m'en rappelle pas, drôlement... Oublie. Je vais te vouvoyez du moins se serait une marque de respect, normalement ? Bref, je ne suis pas venu pour m'en prendre à vos humains, je ne suis pas aussi bête que j'en l'air tout de même, je n'allait pas croire que toi, tu pouvais ne pas l'être. Comprenez vous ? Désolez d'avoir tutoyez à cette instant. Je suis de nature dérangée, enfin physiquement. Je ne vais pas vous embêtez éternellement, je suis là pour quelque temps, je ne sais pas combien de temps enfaite. Ma réponse vous satisfait ? »

L'adrénaline de son corps baissa d'un coup, le mensonge était beaucoup plus facile que la vérité, j'étais simplement amèrement et drôlement lasser par tous ce qui se trouvait à gigotait devant mes yeux. Je continuais tout de même à lui parlée, avide.

« Si je puis tout de même permette, je voudrais te tutoyée cela ne compte en rien de la simple manière que je ne te dérangerais pas avec ta famille, je présume. A me faire des yeux exorbitant comme tu le fais je présume. Désolez pour avant, j'avais envie d'être euphorisante, ce n'est pas nécessaire je sais. Or, j'en est besoin. Je ne vais pas te faire toute une histoire, je veux juste te tutoyée donc je ne ferais pas une histoire abracadabrante pour parlé, comprends tu ? »

Le ton de ma voie avait bien changée, la dureté c'était pas habitude, je mordillaient par habitude humaine mes petite lèvres roses. Je fixais continuellement ses yeux, son visage ses gestes mais mains se joignis et soudain un sourire des plus chaleureux vint à mes lèvres, comment personnes ne pouvait voir que s'en étais un faux... C'était simple aveuglée par la beauté plus rien ne compter.

« Excusez moi très cher, mon idiotie prends le dessus. »

Je ne me présentai pas, il n'en avait rien à faire sur le coup déçu mais bien plus tard après mes parole accablé d'une joie insignifiante je n'y fis plus attention, j'avais un caractère bien compréhensible pour ma personne, je me comprenais et vivais avec le regard qu'Emmett si cela est son prénom, faisait plus le temps était long plus nous nous dévisageâmes. Mon sourire ne dura pas, j'étais de plus en plus sérieuse, mon regards de plus en plus simple aucune joie ne se voyait sur mon visage enfin mon regard se détourna du sien, mon corps, visage et jambe se retournaient dos à lui je me mis à marchait doucement, il était tard, le temps passait vite... Je ne m'en était pas rendu compte il devait être vingt heures plus personne n'était sur la place ou nous nous trouvions, nous pouvions donc parlés sérieusement.

« Je tiens, comme même à me présentez dans le normes. »

« Emmy Coverfield. »

« Sinon, je te suis. »

« Dérangerais-je, Emmett ? »